L’ascalaphe est magique, ni libellule, ni papillon, il est vraiment à part, tout comme le grand fourmilion. Les espèces les plus courantes sont l’ascalaphe soufré et l’ascalaphe ambré, mais il en existe plusieurs autres.
Il faut « apprendre » à le voir, il sait être discret, se fondre dans le décor.
Pour un ascalaphe, je délaisse tout autre insecte, il est mon grand chouchou…
Je garde le souvenir de têtes-à-têtes mémorables, à s’observer mutuellement autour d’une tige sèche.
Prendre le temps de regarder, d’apprendre à connaître oblige à avoir un autre regard, un autre comportement, à devenir respectueux des autres êtres vivants. La taille ne fait pas l’importance…